Le Voyageur par F. D’après le tableau de Caspar David Friedrich, Le voyageur contemplant une mer de nuages.
/B_nb_commentaires>
Il était parti le soir, réfléchissant a des réponses, sans but précis.
La nuit était noire mais le clair de lune lui permettait de voir le chemin.
Il se perdit mais décida de monter au sommet de la montagne pour mieux se retrouver.
Il marcha, marcha, marcha, à force vint la fatigue et il se coucha sans prêter attention au lieu où il se trouvait.
Il se réveilla en même temps que le lever du soleil, émerveillé par ce qui l’entourait, il s’approcha d’un rocher au bord de la falaise admirant ce qu’il voyait ; le ciel était couvert mais le vent léger déplaçait les cumulus formant en contre bas une mer de nuages…
Les montagnes au loin paraissaient si petites, alors il s’exclama : « Merci ! Merci ! Merci ! »
L’extase dans sa voix était si pure… Il continua : « Merci, Nature, de me permettre de voir de si belles choses. Tu m’ouvres les yeux sur le monde majestueux dans lequel nous nous trouvons.
Des larmes commençaient à couler.
Toutes les réponses lui semblaient évidentes.
Il s’arrêta net, s’assit et contempla la vue en silence.
Il était parti le soir, réfléchissant a des réponses, sans but précis.
La nuit était noire mais le clair de lune lui permettait de voir le chemin.
Il se perdit mais décida de monter au sommet de la montagne pour mieux se retrouver.
Il marcha, marcha, marcha, à force vint la fatigue et il se coucha sans prêter attention au lieu où il se trouvait.
Il se réveilla en même temps que le lever du soleil, émerveillé par ce qui l’entourait, il s’approcha d’un rocher au bord de la falaise admirant ce qu’il voyait ; le ciel était couvert mais le vent léger déplaçait les cumulus formant en contre bas une mer de nuages…
Les montagnes au loin paraissaient si petites, alors il s’exclama : « Merci ! Merci ! Merci ! »
L’extase dans sa voix était si pure… Il continua : « Merci, Nature, de me permettre de voir de si belles choses. Tu m’ouvres les yeux sur le monde majestueux dans lequel nous nous trouvons.
Des larmes commençaient à couler.
Toutes les réponses lui semblaient évidentes.
Il s’arrêta net, s’assit et contempla la vue en silence.